Les cyberattaques ne préviennent pas. Et souvent, ce ne sont pas les pirates les plus sophistiqués qui entrent, mais les vulnérabilités les plus banales qui leur ouvrent la porte.
Les mails deviennent plus rares, les réunions s'espacent, les bureaux se vident. Une période idéale pour déconnecter… mais aussi pour être attaqué. Car pendant que vous savourez vos vacances bien méritées sur la côte d'Opale, les cybercriminels, eux, passent à l'action. Ils savent que chaque absence devient une opportunité. Chaque connexion wifi publique est un pont vers vos données sensibles. Et chaque collaborateur mal sensibilisé un vecteur de phishing, de vol d'information ou pire : de cyberattaque .
La cybersécurité d'entreprise ne prend jamais de congé. Si vous ne préparez pas votre système informatique, si vous ne sécurisez pas vos accès à distance, vos outils professionnels, votre matériel, vos sauvegardes, alors vous laissez vos portes grandes ouvertes aux prédateurs numériques. Et ils le savent.
Philippe M., patron d'une PME logistique à Dunkerque, dort paisiblement dans sa maison de vacances à Wimereux. Aucune stratégie de cybersécurité mise en place avant son départ. Aucun plan de continuité. Le silence de la nuit. Puis son téléphone vibre. Une fois. Deux fois. SMS urgent de son système informatique : "ALERTE INTRUSION – ACCÈS NON AUTORISÉ DÉTECTÉ".
Philippe se redresse d'un coup. Cœur qui s'emballe. Mains tremblantes sur l'écran. Il ouvre son laptop, connexion wifi du gîte lente… L'écran de contrôle s'affiche enfin. Rouge partout. Le cauchemar prend forme sous ses yeux : la protection de ses données sensibles a lâché, les fichiers clients défilent dans la colonne "SUPPRIMÉS", 15 ans de labeur qui s'évaporent pendant son absence. Chaque seconde qui passe, c'est des années de travail qui disparaissent.
"Non non non..." Philippe tape frénétiquement sur son clavier. Trop tard. L'attaque est terminée. Les dégâts sont là, irréversibles.
Bilan du carnage : 3 semaines d'arrêt total, 12 clients perdus à vie, 95 000 euros partis en fumée. Philippe s'en est tiré "relativement bien" comparé à la moyenne nationale (127 000€ selon l'ANSSI 2024), mais suffisant pour mettre son entreprise à genoux. Et Philippe qui répète en boucle, hanté : "J'aurais dû écouter CAPEONI en juin pour la mise en œuvre d'une solution de sécurité…"
Sarah D., dirigeante d'une agence immobilière de Calais, dort profondément. Elle a appliqué les réflexes de sécurité. Elle a un plan. Elle a fait preuve de vigilance. Protection des données sensibles en période de congé activée, continuité de l'activité informatique assurée, infrastructures numériques blindées. Son téléphone vibre aussi. Mais le message est différent : "TENTATIVE D'INTRUSION DÉTECTÉE ET NEUTRALISÉE – SYSTÈME SÉCURISÉ".
Sarah jette un œil, sourit dans le noir, repose son téléphone. Grâce aux solutions simples et efficaces de CAPEONI déployées en juillet, grâce à la stratégie de cybersécurité qui protège son activité et ses employés, ses suricates numériques ont éventré l'attaque à la seconde où elle touchait son réseau. Même pas un fichier effleuré. Elle se rendort tranquillement.
Le matin venu, rapport détaillé dans sa boîte mail : origine de l'attaque (serveurs en Biélorussie), méthode utilisée (ransomware sophistiqué), durée de neutralisation (moins de 15 minutes). Sarah prend son café en lisant le rapport comme d'autres lisent le journal. Ses vacances continuent, sereines.
Deux dirigeants, deux approches, deux destins. Ce n'est pas une question de taille d'entreprise ou de budget. C'est une question de préparation. De vigilance. De solutions adaptées.
Été = terrain de chasse préféré des prédateurs numériques
Les cybercriminels le savent : juillet-août, c'est Noël pour eux. Pendant que vous sirotez votre boisson préférée sur la digue de Malo, ils attaquent vos serveurs abandonnés comme des hyènes sur une carcasse.
Simple : vos défenses s'effondrent quand vos équipes partent en congés. Les mises à jour attendent septembre, les sauvegardes traînent, les alertes tombent dans le vide. C'est comme laisser votre coffre-fort ouvert avec un panneau "Reviens dans 3 semaines".
Julien, comptable chez un transporteur d'Amiens, tapote ses mails depuis la terrasse de son mobil-home au Touquet. Wi-Fi du camping, mot de passe "12345678". En 4 minutes chrono, un hacker ukrainien aspire les codes d'accès à la compta. Résultat : 40 000 euros détournés vers un compte fantôme.
"Je pensais que ça n'arrivait qu'aux autres" – Marc, dirigeant PME Valenciennes, après avoir perdu toute sa base clients en août 2023.
J‑30 : audit de choc
Nos suricates inspecteurs passent votre réseau au peigne fin. Chaque faille détectée, chaque vulnérabilité traquée. Comme un scanner médical de votre infrastructure : on voit tout, même ce qui ne fait pas encore mal.
J‑15 à J+60 : forteresse activée
Correctifs déployés, équipes formées, surveillance H24 enclenchée. Nos ninjas du monitoring veillent depuis notre bunker technologique régional. Temps moyen de réponse constaté en 2024 : 1h45. 87% des incidents traités en moins de 2h.
J+7 : debriefing post-bataille
Rapport détaillé : combien d'attaques repoussées, quelles nouvelles menaces détectées, comment renforcer encore la forteresse pour l'an prochain.
Scène vécue : Laurent, patron d'une boîte de BTP à Arras, décroche depuis sa chaise longue à Hardelot. Son plus gros client à l'autre bout du fil. Conversation cristalline, chiffrée niveau militaire. Le client croit qu'il appelle le bureau. Laurent empoche un contrat à 200 000 euros… en maillot de bain.
"CAPEONI m'a sauvé la peau ET mes vacances"
Marine Delcourt, agence immobilière Boulogne-sur-Mer :
"Mercredi 17 juillet, 21h15. SMS de CAPEONI : 'Attaque par ransomware détectée et neutralisée sur votre serveur principal.' J'étais au restaurant avec ma famille. J'ai juste souri . Le lendemain matin, rapport complet : l'attaque venait de Russie, elle visait nos fichiers clients, elle a été stoppée en une dizaine de minutes. Sans CAPEONI, je perdais tout."
Thomas M., gérant BTP Arras :
"L'audit de juin a révélé que notre pare-feu était troué comme une passoire. CAPEONI a tout blindé en 48h. Pendant nos 4 semaines de fermeture d'août, 17 tentatives d'intrusion repoussées. J'ai des preuves, des logs, des détails. Ces gars-là ne rigolent pas avec la sécurité."
Eric L., comptable indépendant Valenciennes :
"J'avoue, j'ai failli passer entre les mailles. La mise à jour d'un routeur oubliée lors de l'audit initial… Résultat : alerte détectée à 2h du matin un samedi d'août, équipe CAPEONI réveillée, attaque stoppée de justesse en télémaintenance. Sueurs froides mais tout sauvé. Maintenant, je vérifie TOUT avec eux."
Les cyberattaques de l'été ne visent pas les géants du CAC 40. Elles ciblent VOUS : PME de 5 à 50 salariés, qui pensez être "trop petits pour intéresser les hackers". Erreur fatale. Vous êtes même leur cible préférée : moins protégés, plus vulnérables, tout aussi rentables.
Mais au-delà des pertes financières, personne ne parle de l'impact humain d'une cyberattaque en plein été. Car la gestion de crise numérique ne s'arrête pas à la technique.
Philippe, 6 mois après son attaque : "Je me réveille encore la nuit en pensant aux données perdues. Mes vacances ont été gâchées, mais le pire c'est la culpabilité. Mes employés ont perdu leur prime d'été à cause de ma négligence. Certains me regardent différemment depuis."
Sandrine, assistante chez Philippe : "Quand les systèmes sont tombés, on s'est sentis abandonnés. Pas de consignes, pas de plan B. On a passé des journées entières à expliquer aux clients qu'on ne pouvait rien faire. C'était humiliant. Et voir le patron revenir de vacances paniqué… ça fait bizarre."
Marc, dirigeant PME Valenciennes, 1 an après : "Il m'a fallu 8 mois pour dormir normalement. Chaque notification de mon téléphone me faisait sursauter. J'ai développé une vraie phobie des mails non identifiés. Mes proches m'ont conseillé un psy spécialisé dans les traumatismes d'entreprise. Ça existe, et c'est nécessaire."
Carole, épouse de dirigeant : "Notre voyage en Grèce a viré au cauchemar. Mon mari était pendu au téléphone 15h par jour, les enfants ne comprenaient pas pourquoi leur père était toujours en colère. On a écourté de 10 jours. Les enfants nous en veulent encore."
15 jours avant le départ :
48h avant le départ :
Télétravail en vacances : les dangers cachés pour vos données. Connexion depuis une terrasse à Wimereux, coworking improvisé sur la plage d'Hardelot… chaque environnement cache ses pièges.
Protection matériel :
Sécurisation connexions :
Subventions : la Région paye une partie de votre sécurité
Pass Cyber Conseil des Hauts-de-France : jusqu'à 30% de prise en charge. CAPEONI s'occupe des démarches administratives. Voir l'article sur le sujet Cybersécurité PME : obtenez jusqu’à 30% de subvention avec le Pass Cyber Investissement
Les suricates CAPEONI ? Ils ne prennent jamais de RTT. Surtout quand les prédateurs rôdent.
Les cyberattaques ne préviennent pas. Et souvent, ce ne sont pas les pirates les plus sophistiqués qui entrent, mais les vulnérabilités les plus banales qui leur ouvrent la porte.
Votre facture téléphonie cache sûrement des coûts que vous ne soupçonnez pas. Et ce n’est pas votre faute : entre les forfaits mobiles, les lignes fixes, les packs multi-sites et les petites lignes d’opérateur, tout est pensé pour être compliqué. Résultat : la plupart des entreprises payent trop, sans le savoir.