Et si votre PME faisait une pause… mais pas sa cybersécurité en 2025 ?

L'été, tout ralentit.

Les mails deviennent plus rares, les réunions s'espacent, les bureaux se vident. Une période idéale pour décon­nec­ter… mais aus­si pour être atta­qué. Car pen­dant que vous savou­rez vos vacances bien méri­tées sur la côte d'Opale, les cyber­cri­mi­nels, eux, passent à l'action. Ils savent que chaque absence devient une oppor­tu­ni­té. Chaque connexion wifi publique est un pont vers vos don­nées sen­sibles. Et chaque col­la­bo­ra­teur mal sen­si­bi­li­sé un vec­teur de phi­shing, de vol d'information ou pire : de cybe­rat­taque .

La cyber­sé­cu­ri­té d'entreprise ne prend jamais de congé. Si vous ne pré­pa­rez pas votre sys­tème infor­ma­tique, si vous ne sécu­ri­sez pas vos accès à dis­tance, vos outils pro­fes­sion­nels, votre maté­riel, vos sau­ve­gardes, alors vous lais­sez vos portes grandes ouvertes aux pré­da­teurs numé­riques. Et ils le savent.

3h17 du matin, 15 août 2024. Quand l'impréparation vire au cauchemar.

Philippe M., patron d'une PME logis­tique à Dunkerque, dort pai­si­ble­ment dans sa mai­son de vacances à Wimereux. Aucune stra­té­gie de cyber­sé­cu­ri­té mise en place avant son départ. Aucun plan de conti­nui­té. Le silence de la nuit. Puis son télé­phone vibre. Une fois. Deux fois. SMS urgent de son sys­tème infor­ma­tique : "ALERTE INTRUSION – ACCÈS NON AUTORISÉ DÉTECTÉ".

Philippe se redresse d'un coup. Cœur qui s'emballe. Mains trem­blantes sur l'écran. Il ouvre son lap­top, connexion wifi du gîte lente… L'écran de contrôle s'affiche enfin. Rouge par­tout. Le cau­che­mar prend forme sous ses yeux : la pro­tec­tion de ses don­nées sen­sibles a lâché, les fichiers clients défilent dans la colonne "SUPPRIMÉS", 15 ans de labeur qui s'évaporent pen­dant son absence. Chaque seconde qui passe, c'est des années de tra­vail qui dis­pa­raissent.

"Non non non..." Philippe tape fré­né­ti­que­ment sur son cla­vier. Trop tard. L'attaque est ter­mi­née. Les dégâts sont là, irré­ver­sibles.

Bilan du car­nage : 3 semaines d'arrêt total, 12 clients per­dus à vie, 95 000 euros par­tis en fumée. Philippe s'en est tiré "rela­ti­ve­ment bien" com­pa­ré à la moyenne natio­nale (127 000€ selon l'ANSSI 2024), mais suf­fi­sant pour mettre son entre­prise à genoux. Et Philippe qui répète en boucle, han­té : "J'aurais dû écou­ter CAPEONI en juin pour la mise en œuvre d'une solu­tion de sécu­ri­té…"

30 kilomètres plus loin, même heure. Quand l'anticipation sauve tout.

Sarah D., diri­geante d'une agence immo­bi­lière de Calais, dort pro­fon­dé­ment. Elle a appli­qué les réflexes de sécu­ri­té. Elle a un plan. Elle a fait preuve de vigi­lance. Protection des don­nées sen­sibles en période de congé acti­vée, conti­nui­té de l'activité infor­ma­tique assu­rée, infra­struc­tures numé­riques blin­dées. Son télé­phone vibre aus­si. Mais le mes­sage est dif­fé­rent : "TENTATIVE D'INTRUSION DÉTECTÉE ET NEUTRALISÉE – SYSTÈME SÉCURISÉ".

Sarah jette un œil, sou­rit dans le noir, repose son télé­phone. Grâce aux solu­tions simples et effi­caces de CAPEONI déployées en juillet, grâce à la stra­té­gie de cyber­sé­cu­ri­té qui pro­tège son acti­vi­té et ses employés, ses suri­cates numé­riques ont éven­tré l'attaque à la seconde où elle tou­chait son réseau. Même pas un fichier effleu­ré. Elle se ren­dort tran­quille­ment.

Le matin venu, rap­port détaillé dans sa boîte mail : ori­gine de l'attaque (ser­veurs en Biélorussie), méthode uti­li­sée (ran­som­ware sophis­ti­qué), durée de neu­tra­li­sa­tion (moins de 15 minutes). Sarah prend son café en lisant le rap­port comme d'autres lisent le jour­nal. Ses vacances conti­nuent, sereines.

Deux diri­geants, deux approches, deux des­tins. Ce n'est pas une ques­tion de taille d'entreprise ou de bud­get. C'est une ques­tion de pré­pa­ra­tion. De vigi­lance. De solu­tions adap­tées.

Été = ter­rain de chasse pré­fé­ré des pré­da­teurs numé­riques

Les cyber­cri­mi­nels le savent : juillet-août, c'est Noël pour eux. Pendant que vous siro­tez votre bois­son pré­fé­rée sur la digue de Malo, ils attaquent vos ser­veurs aban­don­nés comme des hyènes sur une car­casse.

  • +67% d'attaques réus­sies en période esti­vale (rap­port ANSSI 2024)
  • 23 jours : le temps qu'il faut pour se rele­ver… quand on s'en relève

Pourquoi l'été devient-il un massacre ?

Simple : vos défenses s'effondrent quand vos équipes partent en congés. Les mises à jour attendent sep­tembre, les sau­ve­gardes traînent, les alertes tombent dans le vide. C'est comme lais­ser votre coffre-fort ouvert avec un pan­neau "Reviens dans 3 semaines".

Le piège mortel du télétravail estival

Julien, comp­table chez un trans­por­teur d'Amiens, tapote ses mails depuis la ter­rasse de son mobil-home au Touquet. Wi-Fi du cam­ping, mot de passe "12345678". En 4 minutes chro­no, un hacker ukrai­nien aspire les codes d'accès à la comp­ta. Résultat : 40 000 euros détour­nés vers un compte fan­tôme.

"Je pen­sais que ça n'arrivait qu'aux autres" – Marc, diri­geant PME Valenciennes, après avoir per­du toute sa base clients en août 2023.

La méthode CAPEONI : vos vacances blindées en 30 jours

J‑30 : audit de choc

Nos suri­cates ins­pec­teurs passent votre réseau au peigne fin. Chaque faille détec­tée, chaque vul­né­ra­bi­li­té tra­quée. Comme un scan­ner médi­cal de votre infra­struc­ture : on voit tout, même ce qui ne fait pas encore mal.

J‑15 à J+60 : for­te­resse acti­vée

Correctifs déployés, équipes for­mées, sur­veillance H24 enclen­chée. Nos nin­jas du moni­to­ring veillent depuis notre bun­ker tech­no­lo­gique régio­nal. Temps moyen de réponse consta­té en 2024 : 1h45. 87% des inci­dents trai­tés en moins de 2h.

J+7 : debrie­fing post-bataille

Rapport détaillé : com­bien d'attaques repous­sées, quelles nou­velles menaces détec­tées, com­ment ren­for­cer encore la for­te­resse pour l'an pro­chain.

Téléphonie 3CX : quand vos appels ne partent jamais vraiment en vacances

Scène vécue : Laurent, patron d'une boîte de BTP à Arras, décroche depuis sa chaise longue à Hardelot. Son plus gros client à l'autre bout du fil. Conversation cris­tal­line, chif­frée niveau mili­taire. Le client croit qu'il appelle le bureau. Laurent empoche un contrat à 200 000 euros… en maillot de bain.

"CAPEONI m'a sau­vé la peau ET mes vacances"

Marine Delcourt, agence immo­bi­lière Boulogne-sur-Mer :

"Mercredi 17 juillet, 21h15. SMS de CAPEONI : 'Attaque par ran­som­ware détec­tée et neu­tra­li­sée sur votre ser­veur prin­ci­pal.' J'étais au res­tau­rant avec ma famille. J'ai juste sou­ri . Le len­de­main matin, rap­port com­plet : l'attaque venait de Russie, elle visait nos fichiers clients, elle a été stop­pée en une dizaine de minutes. Sans CAPEONI, je per­dais tout."

Thomas M., gérant BTP Arras :

"L'audit de juin a révé­lé que notre pare-feu était troué comme une pas­soire. CAPEONI a tout blin­dé en 48h. Pendant nos 4 semaines de fer­me­ture d'août, 17 ten­ta­tives d'intrusion repous­sées. J'ai des preuves, des logs, des détails. Ces gars-là ne rigolent pas avec la sécu­ri­té."

Eric L., comp­table indé­pen­dant Valenciennes :

"J'avoue, j'ai failli pas­ser entre les mailles. La mise à jour d'un rou­teur oubliée lors de l'audit ini­tial… Résultat : alerte détec­tée à 2h du matin un same­di d'août, équipe CAPEONI réveillée, attaque stop­pée de jus­tesse en télé­main­te­nance. Sueurs froides mais tout sau­vé. Maintenant, je véri­fie TOUT avec eux."

La vérité que personne ne vous dit sur l'après-cyberattaque

Les cybe­rat­taques de l'été ne visent pas les géants du CAC 40. Elles ciblent VOUS : PME de 5 à 50 sala­riés, qui pen­sez être "trop petits pour inté­res­ser les hackers". Erreur fatale. Vous êtes même leur cible pré­fé­rée : moins pro­té­gés, plus vul­né­rables, tout aus­si ren­tables.

Mais au-delà des pertes finan­cières, per­sonne ne parle de l'impact humain d'une cybe­rat­taque en plein été. Car la ges­tion de crise numé­rique ne s'arrête pas à la tech­nique.

Comment les dirigeants vivent-ils une attaque pendant leurs congés ?

Philippe, 6 mois après son attaque : "Je me réveille encore la nuit en pen­sant aux don­nées per­dues. Mes vacances ont été gâchées, mais le pire c'est la culpa­bi­li­té. Mes employés ont per­du leur prime d'été à cause de ma négli­gence. Certains me regardent dif­fé­rem­ment depuis."

Et les équipes restées au bureau ?

Sandrine, assis­tante chez Philippe : "Quand les sys­tèmes sont tom­bés, on s'est sen­tis aban­don­nés. Pas de consignes, pas de plan B. On a pas­sé des jour­nées entières à expli­quer aux clients qu'on ne pou­vait rien faire. C'était humi­liant. Et voir le patron reve­nir de vacances pani­qué… ça fait bizarre."

Comment reprendre confiance après une attaque ?

Marc, diri­geant PME Valenciennes, 1 an après : "Il m'a fal­lu 8 mois pour dor­mir nor­ma­le­ment. Chaque noti­fi­ca­tion de mon télé­phone me fai­sait sur­sau­ter. J'ai déve­lop­pé une vraie pho­bie des mails non iden­ti­fiés. Mes proches m'ont conseillé un psy spé­cia­li­sé dans les trau­ma­tismes d'entreprise. Ça existe, et c'est néces­saire."

Les familles sont-elles impactées ?

Carole, épouse de diri­geant : "Notre voyage en Grèce a viré au cau­che­mar. Mon mari était pen­du au télé­phone 15h par jour, les enfants ne com­pre­naient pas pour­quoi leur père était tou­jours en colère. On a écour­té de 10 jours. Les enfants nous en veulent encore."

Quelle checklist cybersécurité suivre avant chaque départ en congé ?

15 jours avant le départ :

  •  Audit sécu­ri­té com­plet : pare-feu, anti­vi­rus, mises à jour sys­tème
  •  Test des sau­ve­gardes : véri­fi­ca­tion de res­tau­ra­tion sur 3 fichiers cri­tiques
  • Inventaire des accès : désac­ti­va­tion des comptes employés par­tants
  • Formation équipe pré­sente : pro­to­coles d'urgence et contacts prio­ri­taires

 

48h avant le départ :

  • Activation sur­veillance H24 : moni­to­ring auto­ma­ti­sé + alertes SMS
  • Vérification VPN : connexions sécu­ri­sées pour télé­tra­vail esti­val
  • Plan de conti­nui­té : pro­cé­dures d'urgence et contact expert dis­po­nible
  • Communication clients : mes­sage d'absence avec contact de sub­sti­tu­tion

Comment protéger les connexions mobiles et le matériel numérique pendant un télétravail estival ?

Télétravail en vacances : les dan­gers cachés pour vos don­nées. Connexion depuis une ter­rasse à Wimereux, cowor­king impro­vi­sé sur la plage d'Hardelot… chaque envi­ron­ne­ment cache ses pièges.

Protection maté­riel :

  • Chiffrement disque dur obli­ga­toire : même volé, le lap­top reste inuti­li­sable
  • Authentification bio­mé­trique : empreinte ou recon­nais­sance faciale acti­vée
  • Gestion à dis­tance : pos­si­bi­li­té d'effacement total en cas de perte
  • Écran de confi­den­tia­li­té : film anti-regard pour tra­vail en lieux publics

 

Sécurisation connexions :

  • VPN pro­fes­sion­nel obli­ga­toire : tun­nel chif­fré même sur wifi "gra­tuit"
  • Interdiction wifi public pour accès sen­sibles : banque, comp­ta, CRM
  • Partage 4G/5G pri­vi­lé­gié : connexion smart­phone plus sûre que wifi hôtel
  • Zone de tra­vail sécu­ri­sée : dos au mur, écran non visible par autrui

 

Subventions : la Région paye une par­tie de votre sécu­ri­té

Pass Cyber Conseil des Hauts-de-France : jusqu'à 30% de prise en charge. CAPEONI s'occupe des démarches admi­nis­tra­tives. Voir l'article sur le sujet Cybersécurité PME : obte­nez jusqu’à 30% de sub­ven­tion avec le Pass Cyber Investissement

Les suri­cates CAPEONI ? Ils ne prennent jamais de RTT. Surtout quand les pré­da­teurs rôdent.

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Suricate Expert au Bureau

Votre fac­ture télé­pho­nie cache sûre­ment des coûts que vous ne soup­çon­nez pas. Et ce n’est pas votre faute : entre les for­faits mobiles, les lignes fixes, les packs multi-sites et les petites lignes d’opérateur, tout est pen­sé pour être com­pli­qué. Résultat : la plu­part des entre­prises payent trop, sans le savoir.